Le yoga est un jeu zen pour les enfants dés le plus jeune âge auquel ils peuvent s’adonner pour s’amuser, se dépenser et améliorer leurs capacités mentales et physiques.
Yoga-3 : Je vous propose aujourd’hui la suite de 5 postures que j’ai trouvé en fouillant le net (pomme d’api, Pinterest) j’en rajouterai d’autres au fur et à mesure de mes articles
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La boule de neige : Une posture qui développe les capacités sensorielles de l’enfant : Il perçoit la chaleur, lors de la contraction musculaire, et la fraicheur, dans la détente.
Tu sens la neige :Tu sens la neige toute douce sur ton corps un auto massage pour développer le sens du toucher et permettre de mieux s’ancrer dans la réalité.
Le sapin: La posture du sapin fortifie les membres et étire toute la colonne vertébrale. IL est intéressant de faire garder la posture pendant une ou deux minutes, car cette immobilité améliore l’’équilibre tout en apprenant la patience.
Le pingouin :Cette posture sollicite le tonus musculaire et la circulation. Elle améliore le souffle grâce à l’expiration de la cage thoracique.
Le balancier : La posture du balancier fortifie le dos, tonifie les bras et fait travailler l’équilibre. Le fait de « travailler » en face à face est amusant et permet une vraie écoute de soi, de l’autre et de son souffle.
Le yoga est un jeu zen pour les enfants dés le plus jeune âge auquel ils peuvent s’adonner pour s’amuser, se dépenser et améliorer leurs capacités mentales et physiques.
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Le chevalier et la princesse : Un petit exercice qui développe l’attention à l’autre, favorise la perception de détente et de tonicité musculaire, tout en renforçant l’équilibre.
L’archer : La posture de l’archer améliore considérablement la concentration de l’estime de soi.
Le super héros : Cet enchainement, à pratiquer debout, fortifie tout le corps et, psychologiquement, donne de l’élan !
L’aigle royal : Cette posture tonifie particulièrement les muscles des bras et des jambes. Elle aide à évacuer le stress. La puissance de l’image de l’aigle renforce l’estime de soi et donne du courage.
Le bébé : Cette posture favorise le calme et l’introspection, permet la relaxation musculaire, ralentit le rythme cardiaque, amène une sensation de protection et de sécurité. Et de fait, donne envie de grandir.
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Salut, le soleil est une séquence de posture pour bien commencer la journée, une version de la salutation au soleil du yoga adulte que je pratique chaque jour personnellement 🙂
Le paon cette posture dégage la cage thoracique, elle étire et assouplit bras et jambes. De plus, la majesté de cette posture améliore l’estime de soi.
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Les petits volets est un exercice très apaisant, qui permet aux enfants de se réchauffer et de détendre leurs yeux après une activité qui sollicite la vue, à refaire 3 fois de suite. Il est précisé après l’ordinateur ou la télévision, je n’aime pas forcément cela, je dirai plutôt après une activité peinture ou autre pour détendre l’enfant ou pour proposer un retour au calme.
Un auto massage des oreilles stimule le corps tout entier. Il permet aussi à l’enfant de développer son sens auditif et cela améliore considérablement sa qualité d’écoute !
Respirer ensemble! Augmenter sa capacité respiratoire, supprimer les stress et apprivoiser ses émotions sont les bénéfices essentiels de cette proposition. Et quel plaisir de travailler le souffle à plusieurs.
un questionnaire d’évaluation
de l’assistante maternelle envoyé aux parents
Avez vous entendu parler de cette article qui circule sur le net ?
La Protection maternelle et infantile du Département du Nord adresse des questionnaires aux parents employeurs sur les conditions d’accueil de leur enfant par leur assistante maternelle, selon l’Unsa Proassmat. Le syndicat dénonce un abus et demande l’arrêt de cette pratique.
En effet : Drôle de surprise pour certaines assistantes maternelles exerçant dans le département du Nord : leurs parents employeurs ont reçu début janvier un courrier signé d’une puéricultrice de la Protection maternelle infantile (PMI) et accompagné d’un questionnaire.
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Syndicat en alerte
Alerté par des adhérentes, le syndicat Unsa Proassmat a immédiatement réagi et adressé aujourd’hui un courrier au président du Conseil départemental. Le syndicat rappelle que cette pratique n’a aucun fondement réglementaire dans le cadre de la procédure d’agrément. « Les textes ne prévoient pas de demander l’avis des parents employeurs soit en cours d’agrément soit au moment de son renouvellement, ces derniers n’en ont d’ailleurs ni la formation ni les compétences requises. La plupart n’ont même pas connaissance du référentiel ! » souligne Liliane Delton, secrétaire générale de l’Unsa Proassmat.
Petit rappel
Le syndicat rappelle que les professionnelles « ne peuvent être évaluées que par des personnes compétentes, connaissant parfaitement les critères » mentionnés dans les textes réglementaires.
D’autre part, il souligne que les parents ont parfois des exigences non conformes aux textes. Ainsi, les assistantes maternelles sont « très souvent confrontées à des demandes de rajout de matelas dans les lits parapluie, ou à l’administration de médicaments sans ordonnance ».
Pour toutes ces raisons, « outre le fait que cette pratique peut générer des tensions entre assistantes maternelles et parents employeurs », l’Unsa Proassmat demande l’arrêt de cette pratique.
Vous me l’avez demandé, et là voici cette fiche de paie avec le prélèvement à la source.
cela n’était pas une mince affaire et pour aider le site ou me remercier pour tout ce travail, n’hésitez pas à cliquer sur la pub, c’est un moyen de participer à la vie du site chez veronalice. Ne faites pas que prendre donnez un peu en retour Merci.
Sur la fiche de paie ce qui est nouveau pour celles qui ont un prélèvement à la source, c’est indiquer votre % que vous devez connaitre. Pour celles qui ne connaissent pas leur % vous le trouverez en vous connectant sur votre compte impôt et gouvernement.
Pour les assistantes maternelles qui ne sont pas imposable vous n’indiquez aucun % et rien ne changera pour vous.
Il a fallu que je déplace le petit tableau des prestations en nature qui étant en bas.
Celui-ci se trouve sur le coté gauche à présent, car me fallait de la place pour y rajouter le prélèvement à la source. Tout ceci reste visible et bien manipulable.
La ligne pour indiquer les dates des congés qui ne sont pas obligatoire, a été supprimé pour y trouver de la place. Les dates doivent logiquement être données le 1er mars et signées des parents cela est bien suffisant.
Les comportements agressifs nous interrogent beaucoup : quelle est la signification de la morsure, comment intervenir lors de conflits agressifs et comment les atténuer ?
Suivant les âges, tous les comportement vécus comme agressifs par ceux qui les subissent (car ils sont douloureux) n’ont pas toujours cette valeurs d’agressivité de la par de l’ « agresseur ».
LA MORSURE, ACTE D’AMOUR
Pendant la première année de l’enfant, la morsure est plutôt un acte d’amour.
L’enfant « croque » sa mère pour essayer de garder un morceau d’elle à l’intérieur de lui-même… et combien de mère font semblant de manger leur bébé, provoquant alors des éclats de rire de l’enfant. Ce comportement avec sa mère, l’enfant l’étend a d’autres objets : il mord tout ce qu’il aime. De plus, la bouche reste ouverte, au cours de cette première année, un important moyen de connaissance : c’est avec sa bouche qu’il suce, qu’il tête, qu’il mord tout ce qu’il trouve à sa portée, aussi bien un jouet que la main ou la joue d’un autre enfant. Il découvre l’effet de ses actes : que va-t-il ressentir, que va-t-il se passer lorsqu’il mord, pince ou tire les cheveux…
Tous ses actes sont, pour lui, une découverte, la recherche d’un plaisir de contacte mais ils sont ressentis comme agressifs parce qu’il font mal. Et l’enfant « agressé » a besoin d’être réconforté par l’adulte présent et même, peut être momentanément protégé s’il est souvent la proie des expérimentations d’un autre.
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LA MORSURE, DÉCHARGE BRUTAL DE TENSION
Au-delà de la première année, la morsure reste un acte impulsif que l’enfant ne peut contrôler, ni maîtriser. Il correspond souvent à la décharge brutale d’une tension, d’un malaise intérieur, d’une frustration qui submerge l’enfant et qu’il ne sait pas encore exprimer par des mots. C’est pourquoi, si l’enfant agressé a besoin d’être consolé, « l’enfant agresseur » a aussi besoin de trouver réconfort et compréhension de la par de l’adulte.
LA RÉPONSE AGRESSIVE DE L’ADULTE
Quelle signification peut avoir une réponse agressive, elle aussi, de la part de l’adulte ? L’enfant ne sait pas comment exprimer autrement son malaise et n’en saisit pas toujours la nature. S’il agresse un autre enfant, ce n’est pas qu’il en veuille particulièrement à cet autre, mais c’est qu’il à besoin de protéger son être qu’il sent tout à coup menacé et qu’il veut nous signifier que quelque chose le perturbe.
Et voilà que l’adulte, au lieu de l’aider à comprendre ce qui se passe en lui, le gronde, le gifle ou le mord à son tour. Ce qui veut dire, pour l’enfant, qu’il n’a pas le droit d’exprimer une difficulté, ou bien ce qui lui prouve que la violence est quelque chose de possible, à condition d’être le plus grand et le plus fort.
L’enfant a le droit d’exprimer sa colère, son malaise, mais il n’a pas le droit de faire mal à l’autre
Il n’est pas non plus question de cautionner l’expression de l’agressivité, mais l’adulte est là pour signifier à l’enfant qu’il a le droit d’être en colère, d’être malheureux, de souffrir de certaines situations, mais n’a pas le droit de faire mal à un autre. L’adulte doit signifier à l’enfant qu’il est là pour l’aider à comprendre ce qui le perturbe, à atténuer sa souffrance et sa violence qu’en agressant un autre enfant. On peut essayer d’en parler et c’est à l’adulte de mettre des mots sur ce qu’il peut comprendre de la difficulté, de la frustration de l’enfant. L’adulte peut aussi prendre de la difficulté, de la frustration de l’enfant. L’adulte peut lui proposer un mode symbolisé d’expression de sa violence plutôt qu’un passage à l’acte impulsif : tous les jeux symboliques – dont les sont capables dés le milieu de la deuxième année – (jeux de poupée, voiture, construction…) leur permettent de rejouer des situations qu’ils ont vécues et de mettre en scène des conflits ou des angoisses que certaines d’entre elles provoquent en eux. Au lieu de se trouver envahi et submergé par ses préoccupations, le jeune enfant peut alors les élaborer.
Les adultes condamnent souvent les jeux guerriers des enfants… alors que jouer à la guerre, ce n’est pas la faire ! Au contraire, dans ces jeux, l’enfant apprend à se libérer de sa violence, qui existe en tout un chacun, et apprend à contenir, à contrôler cette énergie pour l’orienter vers des voies symboliques et des fins plus constructives.
La réparation de la faute
Les adultes ont souvent besoin de susciter une réparation à la suite d’un comportement agressif : « va lui faire un bisou, maintenant » c’est vouloir nier, annuler ces sentiments de colère, de violence que l’enfant ressent en lui. Ce qu’il faut apprendre à l’enfant, c’est que l’expression de l’agressivité n’est pas toujours destructrice : elle peut être parlée, symbolisé. En trouvant d’autres moyens d’expression de ces sentiments, les enfants perdront cette fascination pour la violence qu’ont encore beaucoup d’adultes et qui trouvent dans les spectacles violent une satisfaction imaginative de leurs besoin d’agressivité.
Chercher à comprendre ce que nous signifie l’enfant
La fonction des adultes qui entourent ces enfants est tout à fait importante. Dans l’organisation de la vie quotidienne et m’aménagement de l’espace des enfants, un certain nombre de facteurs peuvent permettre de diminuer les phénomènes de tension et d’agressivités :
→ Favoriser des moments de relations individualisés avec un adulte privilégié (adulte de référence de l’enfant, en collectivité).
→ Favoriser l’expression des possibilités motrices et de jeux des enfants (activités variées en rapport avec les besoins de l’enfant et que chacun peut mener à son propre rythme).
→ Eviter de regrouper un trop grand nombre d’enfants dans un espace trop petit : utiliser tous les espaces possibles pour permettre l’existence de petits groupes, cloisonner l’espace en différents « coins » d’activités, sortir à l’extérieur.
→ Eviter des conflits inutiles en prévoyant, par exemple, l’acquisition de plusieurs jouets semblables pour un groupe (prévoir des jouets pour l’enfant accueilli pour que ce ne soient pas les enfants de l’assistante maternelle qui, en plus de partager leur mère est leur maison, doivent aussi partager leurs jouets…)
Au lieu de condamner et rejeter l’auteur d’un comportement agressif, il est important de savoir que ce comportement est l’expression d’un malaise et que la violence reste l’attitude de celui qui ne voit pas d’autres façons de résoudre un problème qui l’obsède.
Notre vie est faite de la succession de trois états de vigilance, totalement différents les uns des autres, aussi bien dans notre comportement extérieur, visible, que dans leur traduction électro-encéphalographie : l’éveil, le sommeil lent et le sommeil paradoxal.
L’éveil ou état de veille
→ L’éveil, ou état de veille, caractérise tous les moments conscients de notre vie, et représente chez l’adulte près des deux tiers du temps. Cet état oscille de façon plus ou moins rapide entre des temps d’éveil actif et des temps d’éveil passif.
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Le sommeil lent
→ Le sommeil lent est ainsi appelé car il est caractérisé par un ralentissement et une augmentation d’amplitude progressive des ondes électriques corticales. Il est dit aussi sommeil classique, sommeil orthodoxe. Un adulte s’endort presque toujours en sommeil lent et ce sommeil représente chaque nuit environ 75% à 80% du sommeil total, soit environ 6 heures de sommeil lent pour une nuit de 8 heures. Ce sommeil peut être décomposé en quatre stade de profondeur croissante :
Le stade 1 correspond à l’endormissement ou à un état de pré-éveil, périodes au cours desquelles nous sommes « entre deux eaux », pas tout à fait endormis, ni complètement réveillés. Les mouvements corporels se font rares
Le stade 2 nous dormons, mais ce sommeil est léger. Il persiste une certaine activité mentale : rêves flous, plus proches d’une pensée d’éveil que d’images, rêves plus logiques, plus cohérents que ceux du sommeil paradoxal. L’activité électrique est de plus plus lente. Les stades 1 et 2 représentes 50% du sommeil total, soit 4 heures par nuit
Le stade 3 et 4 correspond a un sommeil très profond. La réactivité aux stimulations extérieures est très faible, l’immobilité à peu près totale. Le visage est inexpressif, l’activité mentale probablement très faible. L’activité électrique cérébrale est lente et ample. Ces stades 3 et 4 représentent environ 25% du sommeil total, soit 2 heures par nuit.
Le sommeil paradoxal ou sommeil de rêve
Le sommeil paradoxal, ou sommeil de rêve, succède au sommeil lent. il est aussi différent que le sommeil lent est différent du réveil. Il a été nommé « paradoxal » par Michel Jouvet, devant le contraste entre un sujet complètement endormi, détendu, et l’enregistrement E.E.G. d’une activité électrique corticale intense, avec des ondes rapides, peu amples, très proches de celles de l’éveil actif. Ce sommeil représente 20 à 25% du sommeil total, soit, lui aussi, près de 2 heures par nuit.
en sommeil paradoxal :
Notre visage est mobile, expressif, plus « social » qu’en sommeil lent
mouvements oculaires rapides verticaux et horizontaux
le pouls et la respiration sont aussi rapide qu’en phase d’éveil, mais plus irréguliers
Tonus musculaires aboli
Paralysie
Activité électrique cérébrale rapide, intense.
A ce stade, le dormeur est très difficile à réveiller
Que se passe-t-il au cours d’une nuit de sommeil
Nous nous endormons en sommeil lent, sommeil lent qui va durer en moyenne de 1h10 à 1h40. D’abord sommeil lent léger puis progressivement de plus en plus profond. A la fin de cette phase, nous passons en sommeil paradoxal pour 10 à 15 minutes. Une nuit complète représente l’enchaînement de 4, 5 ou 6 cycles de « train ». La fin du sommeil paradoxal est marquée par une phase de pré-éveil très courte, insensible pour un dormeur normal, mais où l’éveil serait très difficile. Puis, si aucune stimulation particulière ne le tire du sommeil, le dormeur enchaîne un nouveau cycle.
Comment coucher bébé ?
En 1970, on conseillait aux parents de coucher leur enfant sur le ventre pour diminuer les risques d’inhalation lors de vomissements. Paradoxalement, le nombre de morts subites augmentait et ce n’est qu’en 1992, à l’aide de statistiques plus précises, qu’on a démontré l’influence de la position de sommeil sur la mort subite. En 1994, une grande campagne de prévention est lancée pour mettre à l’honneur le couchage sur le dos. Le couchage ventral est cependant recommandé pour certaines pathologies spécifiques.
Pourquoi sur le dos ?
La respiration est améliorée par cette position, elle est ainsi d’autant plus efficace en cas de
rhino-pharyngite ou de bronchiolite.
L’enfant régule mieux sa température, notamment en cas de fièvre.
Les risques d’asphyxie sont évités (pas de nez obstrué par le matelas, le bord du lit, ni d’étouffement par enfouissement sous les couvertures).
Règles de bases à observer scrupuleusement :
Pas d’oreiller ou de couette avant l’âge de douze mois.
Un matelas ferme et aux dimensions du lit.
Pour couvrir bébé, utilisez une turbulette ou bien un sur pyjama.
La température de la pièce doit se situer entre 19° et 20°C.
Ne fumez jamais dans la pièce au l’enfant dort.
N’attachez rien autour du cou de bébé (chaînette, cordelette avec sucette…)
Ne laissez jamais votre enfant seul à la maison.
Ne culpabilisez pas si vous faites dormir un nouveau-né dans votre propre chambre, près de vous : vous restez le meilleur des radars en cas d’apnée du nourrisson !
N’hésitez pas à me laisser un commentaire ou un message de votre passage
En me promenant sur le net, j’y ai trouvé des documents intéressant sur l’éveil, le développement, etc.. sur l’enfant.
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je vais partager ce que je trouve ici
si l’un des documents est protégé de droit d’auteur, merci de me le signaler, je enlèverai rapidement.
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